Depuis notre précédente Assemblée générale, nos raisons politiques d’agir s’aggravent de plus en plus et deviennent impérieuses.
Nous voyons monter la violence consécutive à des menées fascistes en France : nul lieu n’en est protégé, pas même les prisons comme le montre l’assassinat d’Ivan Colonna, l’assassin du préfet Erignac, par un détenu « radicalisé  », c’est-à -dire membre d’un mouvement terroriste de (...)