Les journalistes de la presse d’argent réagissent comme le président Macron : ils nous préparent à ce qu’un règlement contraigne tous les soignants à se faire vacciner ! Mais que craignent-ils, qui leur fait refuser d’aller chercher le pourquoi du refus de cette vaccination ?
Peut-être que cela donnerait aux personnels soignants d’une part, à nos autres compatriotes d’autre part, l’occasion de dire ce qu’ils pensent de cette épidémie-pandémie, ce qu’ils pensent des vaccins proposés et ce qu’ils pensent des trusts multinationaux, mondiaux, de la pharmacie (Big Pharma) qui nous les proposent !...
Peut-être cela leur donnerait-il l’occasion de dire ce qu’ils comptent faire au cas où ils tomberaient malades, c’est-à -dire donnerait à beaucoup l’occasion de dire qu’ils savent pouvoir être soignés efficacement, et de dire comment ils se feront soigner !...
La question des traitements existants ne sera pas posée !
C’est sans doute là ce que craignent le plus les journalistes de la presse d’argent et les porte-paroles des gouvernements du président Macron : voir tomber le dogme qu’ils ont construit depuis novembre 2019, et qu’ils nous imposent depuis mars 2020, selon lequel il n’existerait aucun traitement susceptible de soigner et, le cas échéant, de guérir les malades du SRAS-CoV-2 (la maladie du coronavirus de 2020), et que les seuls traitements envisageables seraient les présents vaccins, payés à prix d’or sur nos impôts, et les futures molécules, peut-être encore plus chères, tout cela fourni par Big Pharma !
Le dogme est faux, mais ils le maintiennent !
Aujourd’hui, les journalistes de la presse d’argent, qui servent obséquieusement Big Pharma, croient encore à ce dogme : c’est ainsi qu’après avoir remarqué la divergence persistante en Corrèze du nombre des tests à résultat positif, qui ne cesse d’augmenter, avec celui des hospitalisations, qui a, lui, tendance à diminuer, ils n’y voient qu’une cause : le progrès de la vaccination en Corrèze ; à la date de ce reportage, 16500 personnes avaient été vaccinées sur 250000 qui habitent le département. Cette proportion de gens vaccinés suffit-elle à expliquer cette divergence ?
Or depuis douze mois, n’en déplaise aux ENArques et autres technocrates qui nous gouvernent, nous cherchons à survivre malgré le bombardement médiatique, malgré les enfermements sans soins appelés « confinements », malgré toutes les fermetures et couvre-feux, malgré le mensonge permanent substitué à l’information : qui peut croire que nos compatriotes soient restés sans réfléchir, sans chercher à se protéger de la contagion ? Certainement, ils ont pensé aux soins traditionnels de nos familles par lesquels on soignait autrefois les infections respiratoires ! Et ceci cause au moins en partie la divergence dont il vient d’être question !
Oui, il est possible de se soigner du SRAS-CoV2 sans attendre les molécules de Big Pharma ! Les médecins de notre pays qui soignent leurs patients au mépris des injonctions de notre gouvernement ont raison de le faire, entre autres parce qu’ils retrouvent des traitements efficaces et bon marché, avec ou sans hexachloroquine, qui nous guérissent de la maladie, et qui, par contrecoup, protègent de la contagion nos proches lorsque nous nous soignons.
Obliger par voie règlementaire les soignants à se faire vacciner serait une vexation inutile !...
5 mars 2021