Ensuite, toutes les mesures annoncées dans le cadre de la « déclaration du guerre du coronavirus » se sont avérées sans effets ou d’effet contraire, sauf évidemment celles qui relèvent de l’hygiène quotidienne telle que le lavage des mains, enseigné dès l’école maternelle et primaire par nos instituteurs, ou qui devrait l’être si l’école recevait de l’Etat les moyens qui lui sont nécessaires ; telles aussi, à un bien moindre degré d’efficacité, que le port du masque (la recommandation d’éternuer dans son coude au lieu de porter un mouchoir propre et d’en faire usage est une véritable mystification !).
Pourtant, nous sommes véritablement soumis à un régime de guerre, aussi bien du point de vue de la dissimulation du commandement des opérations de guerre que du point de vue de la discipline d’obéissance qui nous est imposée.
Alors, qu’est-ce que c’est que la guerre de Macron ?
Les forces qu’il a mobilisées ne sont pas les forces de la nation : il a mobilisé la presse d’argent, c’est-à -dire la presse écrite, télévisée et numérique que contrôlent les trois ou quatre trusts de la presse, tous dirigés par des capitalistes membres aussi d’autres conseils d’administration de trusts financiers et industriels, les industries pharmaceutiques n’étant pas exceptées...
L’autorité qui constitue ces forces, ce sont les chefs de ces plus grands trusts du capitalisme industriel et financier actifs en France ; Macron est au service de cette autorité !
Président de la République, il a aussi mobilisé au service des grands trusts du capitalisme industriel et financier la haute fonction publique et toutes les structures administratives et policières assurant l’autorité de l’Etat...
Mais alors, quel est l’ennemi que combat la guerre de Macron ?
Nous pouvons nous représenter exactement cet ennemi en constatant les ruines de nos institutions que la guerre de Macron a causées sur notre territoire : toutes nos associations, tous nos syndicats, tout le réseau des entreprises artisanales et des petites entreprises ont dà » cesser de fonctionner et ont les plus grandes difficultés à redémarrer ; nos institutions de santé, hôpitaux, maternités et autres, déjà fort maltraités par la politique malthusienne qui leur a été imposée depuis 1948, ont été carrément délabrées par la politique qui leur a été appliquée au titre de la guerre du coronavirus.
En vérité, ce sont les conditions matérielles d’existence de la France qui sont ravagées par la guerre de Monsieur Macron.
En vérité aussi, le SRAS-CoV-2 (la maladie causée par le CoV-2) n’est pas l’ennemi que combattent les forces mobilisées par le président Macron dans sa guerre : cette maladie est l’arme de destruction qu’il met en œuvre.
Le président Macron conduit une guerre faite par les plus grands trusts industriels et financiers (pharmacie comprise) actifs dans notre pays contre le peuple qui habite ce pays, contre le peuple français !...