Prenons connaissance de ces textes : plusieurs d’entre eux représentent la situation de nos armées de manières qui demandent à être approfondies, replacées dans la situation générale des institutions nécessaires à la vie de notre nation, et confrontées aux faits : c’est pourquoi les militants de la renaissance communiste ressentent que leur devoir de citoyens soucieux de servir la France est de rédiger et de publier leurs analyses : il n’est pas douteux qu’en effet les confrontations de ces textes avec les fait conduiront à d’importantes rectifications, et nous voulons par nos analyses aider à ce que ces confrontations aient lieu sereinement.
Les rectifications nécessaires
Un gros chapitre concerne les rapports qu’entretiennent l’Armée française et l’Education nationale ; ces rapports ont toujours été présentés comme conflictuels par la « vraie droite » et par la « fausse gauche » ; pour la « vraie droite », l’Education nationale n’est qu’un repaire de gauchistes ; quant à la « fausse gauche », elle entretient et agite les clichés les plus stérilisants de l’antimilitarisme, ce qui lui évite de dénoncer les féodalités financières du capitalisme : cette distribution des rôles fait de l’affrontement de la « fausse gauche » et de la « vraie droite » un jeu théâtral qui détourne l’attention que les Français devraient porter sur la situation réelle de nos armées.
Pour bien nous comprendre : notre devoir patriotique
Nous combattons les dévoiements dans lesquels le patriotisme se débat ; le patriotisme vrai peut être le tremplin des plus hautes avancées de civilisation ; par contre, les tentatives de la droite dure et de l’extrême droite pour le dévoyer, pour l’opposer au peuple et au progrès social, ces tentatives conduisent à laisser les mains libres aux pires ennemis du peuple, de la République et de la nation, et aboutissent à faciliter la tâche des casseurs du pays.
Certains communistes portent, soit directement, soit de par leur héritage familial, le prix payé pour avoir le droit de parler haut de notre pays, de son avenir ; certains sont enfants d’immigrés qui avaient choisi librement le pays de 1789 et du Conseil national de la Résistance ; les militants de la renaissance communiste continuent cette tradition, veulent réaliser l’union de tous les patriotes sincères qui préfèrent l’avenir du pays aux privilèges des classes dominantes et exploiteuses .
En réalité, la France est victime d’une entreprise de démolition qui frappe toutes les institutions nationales, y compris la langue française :
- la production industrielle d’armements a été détournée de la mission de fournir nos armées, privatisée, et de ce fait, nos armées sont réduites à devenir clientes des supermarchés du trafic d’armes ; de ce fait aussi, nos arsenaux et manufactures d’armes, désormais, doivent vivre comme les autres établissements de l’industrie de guerre, sous le statut civil des entreprises privées !...
- la production industrielle civile tout entière est méthodiquement démantelée, « désossée », privée de ses circuits économiques essentiels,
- par l’allongement et l’intensification extrêmes du travail,
- par les délocalisations massives, le démontage de l’appareil industriel et des savoir-faire techniques, l’expatriation obligée de nos jeunes ingénieurs et chercheurs,
- par la privatisation de nos services publics nationaux et territoriaux :
- EDF-GDF ont été privatisés,
- la SNCF a été scindée, le réseau séparé de l’exploitation et l’effectif des cheminots réduit de moitié,
- l’Equipement a été comme mis en voie d’extinction depuis des années : sur sept fonctionnaires partant à la retraite, un seul est remplacé,
- les hôpitaux gèrent les malades selon les méthodes de « gestion à flux tendus » inventées pour la gestion de crise des stocks : cette gestion prive les médecins du temps nécessaire pour examiner les malades et prendre connaissance des maladies qu’ils ont à soigner,
- et tous les autres services publics sont touchés par des agressions équivalentes,
- la pêche artisanale, l’agriculture familiale sont mises à mort ;
- l’Education nationale est aujourd’hui en état de collapsus : l’effectif des maîtres et des professeurs est dramatiquement insuffisant, au point de réduire à presque rien l’efficacité de leur travail :
- entre 90000 et 100000 postes de fonctionnaires ont été supprimés depuis l’an 2000, sous Jospin-Allègre (le dégraisseur de mammouth), sous Chirac-Ferry, et plus encore sous Sarkozy ;
- M. Peillon quant à lui ne recrée que quelques postes, hors statut sauf exception : il semble vouloir continuer exactement les contre-réformes d’inspiration anglo-saxonne portées par MM. Fillon, Darcos et Chatel ;
- privés des moyens d’instruire et d’éduquer, les enseignants sont confrontés aux classes surchargées, laissés à eux-mêmes devant des élèves à la dérive, qui n’ont jamais été instruits des principes présidant aux relations interpersonnelles entre citoyennes et citoyens, bien que ces principes soient les premiers éléments essentiels de notre culture démocratique ;
- dans les faits, la politique de nos gouvernements dénationalise l’école de manière rampante, lui impose une gestion strictement locale, privée de toute perspective d’ensemble, la prive des diplômes nationaux qu’elle remplace par une recherche de « compétences » sans contenu civique, scientifique ni culturel :
- tout semble montrer que nos gouvernements veulent importer le modèle anglo-saxon et germanique, dont nous savons qu’il ne fonctionne ni en Angleterre, ni en Allemagne, ni ailleurs, quoi qu’en disent ceux qui dénigrent notre héritage républicain ;
- certes, l’école française « n’allait pas bien avant » ; mais nous constatons et nous disons que ceux qui dirigent nos affaires aggravent sans cesse la situation en vue de substituer à l’ancien modèle scolaire, il est vrai ségrégatif, un modèle éclaté où chaque enseignant, chaque élève, est livré aux diktats du marché à travers de savantes et perverses médiations.
- En somme, l’Education nationale est elle-même broyée par la politique qui broie l’Armée française et toutes les autres institutions nécessaires à la vie de la nation !
- La protection sociale, les retraites, les loisirs : l’essentiel en fut réalisé dans la continuation de l’effort de la Résistance et dans l’esprit de son programme « les Jours heureux », par le Gouvernement provisoire de la République française que présidait le Général De Gaulle, puis par les ministres communistes des gouvernements ultérieurs dont au premier chef Ambroise Croizat ; ce furent de grands progrès de la démocratie, en ce que ces nouvelles institutions donnaient pour la première fois aux travailleurs les moyens d’exercer leur droit de rester en bonne santé et, le cas échéant, d’y revenir, ainsi que le droit de vivre pour eux-même en-dehors du temps de travail : ces institutions nécessaires à toute démocratie sont aujourd’hui réduites à presque rien, sous l’effet des lois réactionnaires qui se sont succédées depuis un demi-siècle, et sous l’effet de la politique appliquée dans les entreprises conformément aux conseils et directives du CNPF, puis du MEDEF, qui ont toujours voulu intensifier le travail et allonger sa durée au-delà du supportable, afin de priver les travailleurs de leurs capacités physiques de jouir de leur droit de gérer eux-mêmes leur vie et de participer en toute responsabilité à la vie de la cité.
- Les institutions démocratiques :
- les associations sont étranglées par l’insuffisance des salaires et par la réduction des loisirs des travailleurs, les coopératives populaires de consommation ou de production sont en butte aux pratiques déloyales de la concurrence capitaliste ;
- les institutions financières de répartition (associations, assurances et banques mutuelles) voient leurs directions placées hors de l’accès de leurs membres-clients, et étranglées par des règlements qui leur imposent de capitaliser au détriment de leur fonction statutaire de répartition ;
- les institutions territoriales de représentation démocratique :
- nos cantons ne sont plus qu’un souvenir ; nos communes vont cesser d’exister en 2014, et, dans la foulée, nos départements sont promis au même sort, afin de laisser la place à des « métropoles », pesantes baronnies concurrentielles ignorant toute démocratie, et à des régions définies pour morceler les nations, et tout d’abord la nôtre ;
- les coopératives d’entreprise, les mutuelles d’entreprise et les syndicats échappent de plus en plus au contrôle démocratique de leurs sociétaires, et sont soit dissous, soit récupérés par le patronat : c’est encore un effet de l’allongement du temps de travail et de son intensification ;
- l’éteignoir brandi sur la langue française :
- dans tous ses usages publics, (publicités, enseignes commerciales, chanson, cinéma, recherche, et désormais, université) notre langue nationale est minorisée au profit du tout-anglais impérial, et parfois par l’effet de lois votées par notre parlement, telle la loi Fioraso, qui couronne la loi Pécresse (dite LRU).
L’autophobie nationale, moyen quotidien de cette entreprise de démolition
C’est un discours déterminé par l’oligarchie financière des capitalistes « français », ressassé par la presse écrite et télévisée que finance le capital et qui tend à réduire au silence et à détruire le patriotisme lui-même : ce discours dénigre toutes les ressources intellectuelles et matérielles que nous pourrions mobiliser pour développer la France : les maîtres en autophobie nationale placent ces ressources et toutes les tentatives de les mettre en œuvre sous les qualifications qu’ils veulent péjoratives de « franco-français », de « franchouillard », d’« hexagonal » ; ce discours est généreusement promu par la « fausse gauche » bon chic bon genre.
Il accompagne la diffusion de discours xénophobes qui rejettent en grand nombre les membres des classes pauvres de notre société, en cachant le fait qu’ils ont été déracinés par l’ordre mondial inégalitaire et par la surexploitation économique que le capitalisme mondialisé fait subir à l’Afrique et au tiers-monde tout entier !
Ces discours xénophobes cachent en même temps la prédominance de la finance états-unienne sur la Bourse de Paris, la mainmise de ses fonds de pensions sur les sociétés du CAC40, ainsi que la pénétration sur notre territoire des sociétés financières qataries.
Les agents de cette démolition sont le gouvernement de l’Union européenne, les gouvernements de la France et divers politiciens ambitieux
- les gouvernements français : ils ont liquidé la diplomatie héritée du gaullisme, avec sa dimension de non-alignement sur les Etats-Unis : encore dans les années 2000, on voyait la France se grandir à l’échelle mondiale en s’opposant à l’unilatéralisme états-unien dans la question de l’Irak ; mais sous la présidence de N. Sarkozy, la France a réintégré le commandement intégré de l’OTAN, puis, dans l’affaire syrienne, F. Hollande a subordonné l’action de la France aux décisions des Etats-Unis ;
- le gouvernement européen : les gouvernements français nous imposent comme lois les décrets du gouvernement de l’UE ; en France le conseil constitutionnel affirme le primat des « lois » européennes sur les lois françaises : le parlement ne fait plus que transcrire des directives européennes que notre peuple n’a jamais discutées ; au nom du « traité de Lisbonne », aggravé par le « traité de gouvernance budgétaire », notre pays est privé de souveraineté budgétaire et monétaire, privé de politique industrielle et économique sérieuse ; les commissaires politiques de Bruxelles patrouillent dans les couloirs du Palais-Bourbon durant la discussion budgétaire supervisée par Bruxelles et Francfort ;
- la « construction » européenne néolibérale a entrepris de démanteler l’unité de la France : en vertu des décrets du gouvernement européen, les gouvernements français créent des régions soumises à la tutelle directe du gouvernement européen, laquelle devient progressivement une prison de peuples répartis sur un territoire morcelé d’euro-régions transfrontalières, écrasé sous des métropoles géantes chapeautant le développement inégal et concurrentiel de leurs territoires ; ce sera la fin de la République une et indivisible dont la mission était d’assurer à tous les mêmes droits et d’impulser le développement équilibré du territoire national ;
- l’intégration dans le commandement de l’OTAN entrave l’action de nos armées ; dans ce cadre, N. Sarkozy a bénéficié du soutien de l’Angleterre pour bombarder la Libye, et F. Hollande a subordonné l’action de la France aux décisions des Etats-Unis dans l’affaire syrienne ; quoi que l’on pense du soutien aux « rebelles » syriens que chapeaute Al Qaida, la France officielle est devenue le champion de l’action hors la légalité internationale : de ce fait, notre armée court inutilement le risque d’une aventure douteuse, à laquelle le peuple français est massivement opposé : dans cette aventure, l’armée sera privée du soutien populaire ;
- les groupes séparatistes : l’Allemagne seule est sortie renforcée de la chute de l’URSS, tandis que ses voisins, la Tchécoslovaquie, la partie occidentale de l’ancienne URSS, la Yougoslavie, ont éclaté, ou sont en voie d’éclater comme la Belgique ; le fait est que les voisins de la France, Espagne, Italie, Royaume-uni subissent eux aussi cette entreprise de démantèlement, manifestée notamment par d’intenses tensions centrifuges dans les régions riches : des politiciens séparatistes ont mis la Catalogne, le Pays basque, l’Italie du nord (surnommée la « Padanie »), l’Ecosse sur le chemin de la sécession ;
- des politiciens séparatistes s’agitent en France aussi :
- prenant en otages les citoyens amoureux de leurs langues régionales, ils n’ont d’autre but que de diviser notre pays selon des schémas ethniques fallacieux ;
accusant le « jacobinisme » de tous les maux, ils jettent le tabou sur la recherche d’une véritable unité nationale ; - ils ne cherchent jamais la véritable cause du déclin des langues régionales, mais le prennent pour prétexte
- pour imposer une fausse définition ethnique à toute institution,
- pour effacer la recherche par les Français de leur cohérence nationale, c’est-à -dire effacer la revendication populaire de démocratie, que les Français de toutes les régions ont manifestée lorsque fut fondée l’école laïque en y envoyant leurs enfants apprendre notre langue nationale ;
- certains de nos anciens cantons comptent dans leur population une forte proportion de nantis du nord de l’Europe, qui souvent, devant le basculement insidieux, mais officiel, de la France à la langue anglaise, ne font même plus l’effort d’apprendre le français !
- prenant en otages les citoyens amoureux de leurs langues régionales, ils n’ont d’autre but que de diviser notre pays selon des schémas ethniques fallacieux ;
Les entrepreneurs et directeurs de la démolition de la France sont les membres de l’oligarchie financière du capitalisme
Les biens qu’ils possèdent à titre privé leur donnent le pouvoir politique exorbitant de choisir les politiciens qui gouverneront la France et de leur dicter leur politique ; cette oligarchie financière est entièrement tournée vers les « Etats-Unis d’Europe » pilotés par Berlin, vers l’Union transatlantique, chère à Wall Street, vers la « reconfiguration des territoires », vers les « transferts de souveraineté », tous objectifs antinationaux que commandite le MEDEF dans son manifeste de décembre 2011 intitulé « Besoin d’aire », confirmé par M. Gattaz qui vient d’exiger « la suppression des communes et des départements ».
Que disent les partis politiques auxquels la télévision ouvre ses écrans ?
Les diverses chaînes de télévision habituellement regardées par les Français ouvrent leurs écrans à certains partis politiques : les uns participent de la « vraie droite » ; c’est le cas du Front national, qui n’a jamais participé à un gouvernement et qui a usurpé son nom (le nom de Front national était celui que portait l’organisation patriotique unitaire mise en place par le PCF clandestin sous l’Occupation, et qui dirigeait les FTP-F et les FTP-MOI).
Les autres partis autorisés de télévision participent de la « fausse gauche ».
Ni les uns, ni les autres ne proposent de sortir de cette prison euro-atlantique des peuples que sont l’Union européenne et l’Euro ; tous ces partis, lorsqu’ils étaient au gouvernement, ont concouru par leurs circulaires et par les lois qu’ils ont fait voter, à l’effacement de l’usage du français dans nos institutions, notamment dans les publications scientifiques et à l’Université.
Le Front national se dit favorable à la sortie de l’Union européenne et de l’Euro, mais il y met une condition (la « sortie concertée ») qui la renvoie aux calendes.
La vraie gauche
La vraie gauche est sans cesse rejetée dans l’obscurité par le théâtre de notre système médiatique : elle est pratiquement interdite de télévision : au contraire de la « fausse gauche », la vraie gauche ne participe pas à l’entreprise de démolition nationale.
La vraie gauche est en effet patriotique, populaire et internationaliste ; elle porte les traditions illustrées par Robespierre, Saint-Just, les Communards parisiens, les Francs-Tireurs et Partisans.
Quelques leçons de l’histoire
Au sortir de la seconde guerre mondiale, l’écrivain gaulliste F. Mauriac avait rendu hommage à la classe ouvrière de France « seule, dans sa masse, demeurée fidèle à la France profanée », alors que la majorité des milieux d’affaires avait collaboré, voire – comme l’avait pressenti Marc Bloch et comme l’a démontré historiquement Annie Lacroix-Riz – fait le « choix de la défaite ».
Aujourd’hui, les milieux d’affaires nous imposent une politique de même nature, à ceci près que cette fois-ci, les privilégiés ne choisissent pas seulement de soumettre le pays à l’étranger, comme le firent jadis l’évêque Cauchon condamnant Jeanne d’Arc, les Emigrés de Koblenz combattant dans l’armée des rois contre les Soldats de l’An 2, les Versaillais livrant l’Alsace-Lorraine aux Prussiens ou le régime de Vichy collaborant avec Hitler : aujourd’hui, les privilégiés ont entrepris de tuer notre pays en le vidant de toutes ses institutions démocratiques.
Les militaires ont leur place dans l’union du peuple de France
Nous connaissons leurs soldes et leurs primes : nous savons qu’elles ne sortent pas de l’ordre de grandeur des traitements des fonctionnaires civils ; nous savons aussi quelles contraintes impose l’état de militaire à tous ceux qui se préparent à combatre les agressions que la France pourrait subir : tout les rapproche des autres membres de notre peuple.
Quant à nous, nous voulons une profonde transformation de l’armée dans le sens de ce qu’avait su faire la Révolution française ou dans le sens de ce qu’avait écrit Jaurès dans L’Armée nouvelle ; nous n’opposons pas la masse des citoyens en armes prêts à défendre leur sol en cas d’invasion et la technicité des officiers chargés de dominer la pensée militaire et de savoir utiliser les armes les plus modernes : tous peuvent servir la République, le peuple, et au cœur de la nation, ce monde du travail qui produit les richesses et qui en profite si peu.
Le PS et l’UMP briguent l’adhésion des militaires à leurs thèses, et même à leur organisation ; les militaires ont le droit de répondre à l’un ou à l’autre, mais cela ne doit pas les conduire à participer à la démolition nationale, ou à se diviser et à se combattre sur les critères d’appartenance à l’un ou à l’autre de ces partis.
Le prétendu « Front national » aussi brigue les faveurs des militaires : mais son opposition à l’Europe supranationale et à l’Euro est superficielle, mais ses propagandes soufflent par bouffées la guerre civile, interethnique ou interreligieuse, mais son avènement déshonorerait définitivement notre France laïque aux yeux du monde en lui faisant porter le drapeau du racisme et de la xénophobie, lesquels n’existent qu’en réprimant le patriotisme véritable : il serait triste que certains militaires se rallient à lui !
Comment en sortir ?
Il faut que la France se libère de l’autorité du gouvernement de l’Union européenne, qu’elle sorte de la monnaie européenne, l’Euro, qu’elle rétablisse sans restriction ni délégation la souveraineté nationale, et qu’elle soumette les propriétaires des gros capitaux à la loi démocratique de la Nation ! C’est possible si le peuple de France s’unit pour y parvenir.
C’est pourquoi les communistes militant pour la renaissance communiste en France tendons la main à tous les patriotes, afin de défendre et de sauvegarder la République, la démocratie, c’est-à -dire en somme, la France.