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L’épidémie de covid : comment en sortir

vendredi 21 janvier 2022, par Jean-Pierre Combe

Devons-nous renoncer àconduire notre propre vie ?

Certains de nos compatriotes disent que la vaccination est un choix collectif dans une société : ils expriment ainsi leur opinion que la collectivité est en droit de contraindre ses membres àse faire vacciner.

Mais alors, comment la société peut-elle mette en loi ce « choix collectif » ? Les législateurs auront les plus grandes difficultés àrédiger un texte qui transcende les contradictions que présente un tel « choix collectif » avec les caractéristiques médicales individuelles, les droits individuels des membres de la société, et qu’il faudra appliquer aux vaccins développés contre toutes les maladies, qu’il ne faut surtout pas utiliser tous de la même manière !...

Il faut reconnaître que dans une société civilisée confrontée àune maladie contagieuse, le choix collectif réfléchi et documenté est celui de mettre un vaccin au point, mais nous devons maintenir que ce choix ne conduit pas àrejeter les médications existantes et que même devant cette maladie, le choix de se faire vacciner reste individuel, et le choix de faire vacciner les enfants appartient àleurs parents : la collectivité n’a jamais àvacciner quiconque d’office, ni àvacciner tout le monde !... Entre le choix de mettre au point un vaccin ou plusieurs, qui incombe àla collectivité et le choix de se faire vacciner et de faire vacciner les enfants, il y a l’obligation pour la médecine, qui agit sur la dimension collective en même temps que sur la dimension individuelle, de bien documenter chaque patient sur le ou les vaccins qui leur sont proposés comme sur les médications existantes, de bien éclairer leur choix au cours d’un dialogue qui fait partie du « colloque singulier » que tout médecin doit avoir avec chacun de ses patients, et de respecter la décision àlaquelle aboutit le « colloque singulier » qui appartient au patient ou, si le patient est un enfant, àses parents.

Telle est la seule manière dont une société peut respecter tout àla fois les droits humains et civiques, votés en France en 1789 et renouvelés en 1793, et le serment d’Hippocrate des médecins, qui est plus vieux d’environ deux millénaires.

Faut-il balayer les doutes nés de l’incompétence et de la corruption rendues visibles par la politique sanitaire du gouvernement français et considérer que nous sommes devant un cas de force majeure pour rendre la vaccination obligatoire dans notre pays ?

L’incapacité de l’exécutif français àisoler, àsoigner et àtester de façon systématique et scientifique les foyers infectieux a-t-elle fait tomber toute limite àla propagation du virus au point que nous ne pourrions connaître son extension que par l’observation de l’encombrement des hôpitaux, qui retarde de deux semaines sur le début de l’infection individuelle ? Est-ce làla raison pour laquelle « rien n’est maîtrisé », et est-ce que de ce fait, le vaccin est le seul recours ? Et donc que le vaccin devrait être obligatoire ?

Matériellement : connaît-on vraiment la situation sanitaire ?

L’exécutif français a enjoint contrairement àtoute science aux médecins généralistes de proximité de ne pas soigner leurs patients et aux malades de ne pas faire appel àleur médecin, de s’isoler sans soins et d’attendre les symptômes de l’aggravation pour, alors seulement, appeler le service de médecine d’urgence ; il a ainsi interdit que l’on soigne les malades et s’est lui-même rendu incapable d’observer l’épidémie ; dans le même temps, il nous privait de la perspective de nous soigner avant que la maladie devienne grave ; il a fait appliquer ces décisions mauvaises et criminelles en nous terrorisant ; c’est ainsi qu’il a causé toute cette crise, que prolonge aujourd’hui le maintien (très artificiel) de la terreur créée pendant le premier trimestre 2020...

Cette terreur est maintenue par le rappel incessant du dogme selon lequel aucun traitement prophylactique de cette maladie n’existerait : or ce dogme ne repose sur aucune réalité médicale, sur aucune observation scientifique ; en fait, il est et a toujours été totalement faux...

Beaucoup de scientifiques français réfutent le caractère scientifique des principes fondateurs de la politique sanitaire française

Je suis de ceux qui ont fait des études scientifiques supérieures et qui ont vu immédiatement que les principes sur lesquels le gouvernement français a fondé sa politique sanitaire sont étrangers et contraires àtoute science !

Dès le début de la « guerre du coronavirus », quelque trois mille médecins et soignants rebelles aux directives de ce gouvernement ont signé une pétition (laissons-les prescrire) et se sont organisés pour diffuser en France une information juste et vérifiée sur la maladie, sur l’extension de son épidémie et sur les moyens ànotre disposition pour ne pas tomber malades si nous sommes contaminés, pour guérir de cette maladie en nous soignant dès les quatre ou cinq jours après que les premiers symptômes sont apparus, et pour guérir sans passer par la réanimation si l’hospitalisation est nécessaire... : cette information est toujours accessible sur le site REINFOCOVID.

Dernièrement, nous avons été plus de mille deux cent habitants de ce pays titulaires de diplômes scientifiques de haut niveau àsigner un texte dénonçant la nouvelle religion vaccinale : chacun des signataires de ce texte possède au moins autant de titres l’habilitant àparler en tant que scientifique que n’en possède chacun des membres du comité secret dit « scientifique de défense » auprès duquel le président Macron prend ses conseils pour « gérer » cette crise !...

Comment mettrons-nous fin àcette épi-pandémie ?

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) nous a déjàprévenus que ce n’est pas grâce aux produits expérimentaux vendus sous le nom de « vaccins » par les sociétés Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zénéca que la pandémie prendra fin.

Ce qui mettra fin àcette épidémie en France, c’est :

  • la restauration de la capacité de ses habitants de se soigner en recourant aux soins d’hygiène renforcée que nous enseignaient nos grand-mères ;
  • le recours des malades aux médecins généralistes de proximité ;
  • le bénéfice de la vaccination par la maladie elle-même des malades qui en ont été guéris, que ce soit du seul fait de leurs défenses immunitaires personnelles, ou parce que les soins qu’ils ont reçus ont renforcé leurs défenses dans la lutte de leur corps contre l’infection ;
  • le recours sur prescription médicale àdes vaccins de type classique, comme le sont les vaccins chinois, cubains, ou celui de la société franco-autrichienne Valneva ;
  • le rejet des produits expérimentaux de l’ingénieurie génétique que sont les produits que nous vendent sous l’appellation trompeuse de « vaccins » les sociétés Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zénéca ;
  • la fin des interdictions arbitraires opposées àdiverses médications connues et déjàtotalement maîtrisées par les médecins de notre pays...

Le 21 janvier 2022 ; Jean-Pierre Combe

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